Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu et maintenant ... je bois (pv)
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Qui suis-je ? Invité
Ven 23 Nov - 8:14
Je te p*sse au cul sale con.
C'est sur ses mots, on ne peut plus subtile, que je m'étais adressé au procureur alors qu'il tentait de me faire perdre la face aux yeux du juge alors qu'il argumentait sur les fondements juridiques de mon objection. Il est vrai que mon client était un salaud et qu'il avait probablement commis les actes – ignobles – qui lui étaient reprochés par l'acte d'accusation mais comme notre civilisation repose sur l'égalité des droits pour tous et que mon client était – du moins – innocent des crimes qu'ont lui reproches jusqu'à ce que sa culpabilité ne fasse plus l'ombre d'un doute … c'est ce que l'on appelle la présomption d'innocence et j'étais déterminé à me battre pour mon client afin que ses droits soient respectés.
Évidemment le juge ne pu s'empêcher de me rabrouer afin de me faire comprendre que je devais respecter les usages du tribunal et il me menaçait de me condamner à un outrage au tribunal si jamais je continuais mon petit manège mais bon au point ou j'en étais rendu je dois bien avouer que je m'en foutais pas mal.
Monsieur le juge, malgré tout le respect que je vous dois, je me dois d'admettre que bien que vous puissiez invoquer tout les articles du code afin de me faire taire … je m'en bats les couilles. L'enculé de procureur bafoue allègrement les droits constitutionnels de mon client, avec votre bénédiction, ce qui est d'autant plus dégueulasse. Alors accusez-moi d'outrage au tribunal si cela vous chante moi pour ma part je compte bien déposer à l'encontre de cette chambre une requête en nullité puisque vous me semblez prêcher par excès de partialité.
Le juge semblait fou de rage et rapidement je l'entendis frapper avec son marteau et je ne pus que sourire à mon client lorsque j'entendis le juge hurler qu'il ajournait le procès jusqu'à la fin du mois … comme quoi mon numéro avait finit par lui foutre la trouille.
Ce qui était bien avec l'ajournement du procès c'était que j'allais finalement avoir le reste de ma journée et tout le monde sait que lorsque j'avais un moment de libre je filais en ville me prendre quelques petites bières histoire de me changer les idées. Aujourd'hui ne fit pas exception alors que je demandai à ma secrétaire de prendre mes messages et de dire à mes clients que je les rappellerais demain matin dès mon retour au bureau.
Il devait bien être 14 heures lorsque j'arrivai devant ce bar du centre-ville et que je me stationnai afin de sortir de mon véhicule et que je passai à l'intérieur, m'installant au comptoir et me commandant à boire.
@ PRESTIGE : 11 @ DATE DE NAISSANCE : 14/11/1987 @ AGE : 37 || @ SEXE : @ ADRESSE : // @ MÉTIER : Prostituée
UC
Sam 24 Nov - 19:30
Marco & Lyssandra
Une sonnerie de réveil venait d'emplir un minuscule petit appartement de Seattle. Aussitôt suivit par un silence de plomb indiquant que le propriétaire des lieux venait de se réveiller et qu'il n'était pas d'une bonne humeur. Et ce propriétaire c'était moi. Enfin, propriétaire... Locataire. Car ce n'est pas avec la maigre paye de strip teaseuse que j'avais que j'allais me payezr un super belle appartement dans Seattle. Bon, j'avais bien les pourboires laissés par les clients mais ce n'était pas le top surtout quand on savait la façon dont je me les était procuré. Car en plus d'être strip teaseuse, j'étais une prostituée, peut être même la meilleur d'un des bar les plus huppée dans le domaine. Me levant, j'étais décidé à aller tester mon nouveau numéro dans le bar mais avant, un petit tour en ville.
Une fois prête, je pus aller dans Seattle. Ma direction? Je n'en avais pas, je marchais à l'instinct et laissais mes pas me guider dans la grande ville aussi belle que sinistre. Tous les jours je croisais des hommes et des femmes en quête d'évasion que se soit dans l'alcool, la drogue ou dans les bras d'une prostituée. Et croyez moi, y a de quoi déprimer. Mes pas me guidèrent jusqu'au bar de Joe, là où se trouvait très souvent les internes et résidents de l'hôpital le plus proche. Peut être arriverais je à croiser une amie qui travaillait dans l'hôpital. Izzie Stevens était une amie que j'avais croisé à l'époque où je faisais le trottoir et depuis, nous étions amis malgré nos différents modes de vie. Et c'était bon d'avoir une amie hors du milieux de la prostitution, cela redonnait un peu de normalité à une vie de fou.
Entrant dans le bar, je saluais Joe avant de m'asseoir à côté d'un jeune homme. Je commandais une bière avant de me perdre dans la contemplation du bar, juste dérangé par l'arrivée imminente de ma bière. Jouant nerveusement avec mon verre, je me demandais ce qu'Izzie attendait avant de venir me voir au bar. Bon, elle devait être en service mais un sms n'avait jamais tué personne. Comment sa je ne lui en avais pas envoyé? J'allais rectifier le tir tout de suite. Envoyant donc un sms à mon amie, je fis malencontreusement voler mon verre de verre sur mon pauvre voisin. M'excusant platement, je finis par prendre un serviette donné par Jeo pour éponger.
J'avais décidé, afin de décompresser un brin, de m'extirper à mes dossiers et toutes ces histoires de procès afin d'aller me changer les idées et c'est ce qui m'avait poussé à venir boire un verre dans ce bar des plus sympathique. Évidemment je savais que l'endroit grouillait de médecins et je me disais qu'au moins je ne croiserais pas certains de mes collègues désireux de s'entretenir avec moi de différents dossiers et puis je me disais que si je devais subir un malaise quelconque je ne pouvais souhaiter un meilleur endroit.
Bien que je tentais de faire le vide dans mon esprit afin de me changer les idées, il m'était tout de même difficile de parvenir à tout laisser derrière moi et puis – afin de ne plus penser au travail – je pris mon verre afin de le porter à mes lèvres et c'est alors que je m'apprêtais à le poser délicatement sur le comptoir que je sentis une vague impression de fraicheur m'envahir alors que ma charmante voisine de bar renversa son verre sur ma petite personne. Me tournant en sa direction , alors qu'elle avait en sa possession une serviette, je remarquai son inconfort avec la présente situation et je ne pus m'empêcher de lui sourire.
Soyez sans craintes, c'est presque rien et puis ce genre de situation nous arrive tous in jour mais c'est gentil de prendre le temps de vous excuser … vous faites preuves de bonnes manières ce qui est de plus en plus rares de nos jours.
Je lui souris tout en glissant délicatement ma main sur la sienne afin de la rassurer et puis faisant signe à Joe je lui demandai de nous faire le plein, après tout nos verres étaient maintenant vides.
Je vous l'offre avec plaisir, un refus serait considéré comme une offense. Lui dis-je en lui faisait cette moue terrible , digne d'un enfant voulant à tout prix obtenir ce qu'il voulait. Et puis comme vous m'avez renverser votre verre vous me devez une faveur et la faveur que j'exige est que vous acceptiez que je vous offre un verre.
Je sais je lui forçais un peu la main mais je la sentais mal à l'aise et je voulais simplement lui faire comprendre que cette situation n'était pas catastrophique et je dois également admettre que je mourrais d'envie de faire sa connaissance.
@ PRESTIGE : 11 @ DATE DE NAISSANCE : 14/11/1987 @ AGE : 37 || @ SEXE : @ ADRESSE : // @ MÉTIER : Prostituée
UC
Jeu 27 Déc - 9:18
Je n'arrivais tout simplement pas a croire ce qui venais de se passer. Moi, pourtant tres habile de mes mains pour mon metier, je venais de renverse mon verre sur un pauvre homme qui s'appretait a boire le sien. Dire que je le sentais mal etait un doux euphemisme. Je ne voulais pas me faire remarquer et bien pour le coup c'etait loupe et pas qu'un petit peu. Mais le jeune vomme sur qui j'avais renverse mon verre ne sembla pas s'en formaliser. Pour lui se n'etait rien mai pour moi c'etait un acte horrible... Okay je dramatise un peu quand meme la. Bref, toujours est il que j'etais plus occupee a rattraper ma betise qu'a ecouter ce que mon voisin me disait. Soupirant un peu, je fis soudain attention a la facon dont il me parler. Cela me rappelait un vieil ami dont je n'avais plus aucune nouvelle.
Comment s'appelait il deja? Ah oui, Marco. Mais alors le nom de famille etait trop loin dans mes souvenirs pour que je m'en souvienne. Voila a qui le bel inconnu me faisait penser. Un vieil ami qui, je l'esperais avait mieux reussi sa vie que moi. Remarquez, il n'est pa difficile d'avoir une meilleure vie que moi. Apres tout, on ne fait pas pire metier que celui de pute de nos jours. Le bel inconnu me proposa un nouveau verre que j'acceptai avec plaisir. Je ne voulais pas vexer le jeune inconnu et puis, il etait rare d'avoir un verre gratuit ailleurs que dans le bar que je frequentai habituellement. Autrement dit dans le bar ou je bossais ou les clients m'offrait des verres avant de me faire ma fete. Alors c'etait bien plus agreable maintenant, quand on attendait aucune faveur de ma part en echange.
"Avec grand plaisir, merci beaucoup.
Je ne comprenais pas ce qui avait poussé le jeune homme a m'offrir un verre. Peut etre voulait il simplement me faire comprendre que mon acte passe n'etait pas grave ou alors peut etre voulait il me connaitre... Ou alors, il m'avait deja vu dans le bar de strip tease ou je travaillais et que, de cette facon, il etait sur d'acheter mes faveurs. J'esperai que ce n'etait pas la derniere hypotese la juste quand Joe nous rapporta nos verres pleins. Souriant, je remerciais le barman avant de boire une gorgee de mon nouveau verre.
"Je ne me suis meme pas presente, je m'appelle Lyssandra McFister."
Spoiler:
Desole du temps de reponse mais je n'avais plus d'ordi. Et mon nouveau est anglais, je n'ais au un accent... J'espere que tu ne m'en veux pas
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